Vitrine technologique

CYCLOPE

Lutte contre les virus à ARN+

Investissement : 603k€

Domaine d’application : Santé

Domaine(s) scientifique(s) : Biologie et Chimie médicinale

Établissement(s) : CNRS - Inserm - Institut de recherche pour le développement - Université de la Réunion - Université Paris-Saclay

Valorisation : Technologie à commercialiser

#Antiviral #NouvelleEntiteChimique #VirusARN+

CAS D'USAGE

Les virus zoonotiques dont le génome est une molécule d’ARN simple-brin de polarité positive tels que les virus de la dengue (DENV), de la fièvre jaune, de l’encéphalite japonaise (JEV), West Nile, Zika (ZIKV), Chikungunya (CHIKV) et Ross River (RRV), plus les coronavirus dont le SARS-CoV-2 responsable du COVID-19, sont à l’origine d’épidémies majeures avec un taux de mortalité chez l’homme qui peut s’avérer conséquent.

Les infections virales à transmission vectorielle (arboviroses) mortelles pour l’homme comme la dengue qui est une priorité mondiale concernent des milliards d’individus à travers le monde. Les infections aux coronavirus issus de la faune sauvage à l’instar du SARS-CoV-2 sont devenues ces vingt dernières années un nouvel enjeu majeur en santé publique.

Pour endiguer l’émergence et/ou la propagation de maladies infectieuses d’origine virale, il est prioritaire de disposer rapidement de molécules antivirales qui peuvent agir comme agents thérapeutiques.

AVANTAGES

La technologie CYCLOPE s’appuie sur l’extraction d’un nouveau composé extrait d’un criblage de molécules naturelles issues de plantes et présentant une activité antivirale forte.

Cette nouvelle molécule montre une toxicité cellulaire faible et une activité antivirale forte chez les virus à ARN monocaténaire à polarité positive. Sa cible potentielle est identifiée.

APPLICATIONS

Le produit développé par le projet CYCLOPE s’inscrit dans le marché de la lutte antivirale contre les virus émergents d’intérêt médical, en développant une nouvelle molécule à large spectre d’application contre les virus chikungunya, la dengue, le Zika, le Ross River, et le SARS-CoV-2.