Les tâches les plus faciles pour les humains sont souvent les plus difficiles à reproduire en robotique et vice versa. Cela peut paraître contre-intuitif : les algorithmes sont capables de doter les robots de pouvoir de calculs extraordinaires, dépassant largement les capacités d’une personne lambda. Or, dès qu’il s’agit de reproduire un automatisme sensorimoteur dont un enfant en bas âge s’acquitte sans problème, les choses deviennent compliquées pour les machines.
Ce paradoxe a été révélé par Hans Moravec, un enseignant-chercheur autrichien, spécialiste en robotique et en intelligence artificielle, auteur de plusieurs ouvrages de référence dans le domaine dont « L’avenir des robots et l’intelligence humaine ».
Venez découvrir comment ce principe se réalise dans les suites logicielles de plusieurs start-up exposées dans le Showroom technologique de Paris-Saclay !